Sunday, May 21, 2017

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De la Nature

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #46465 dans Livres
  • Publié le: 2012-09-14
  • Langue d'origine:
    Français
  • Dimensions: 7.40" h x
    1.60" l x
    4.90" L,
    .0 livres
  • Reliure: Broché
  • 512 pages

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

5 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile.
4Une oeuvre intéressante, et la savoir aussi ancienne m'émeut
Par Chris
Je ne suis ni latiniste ni historienne, ni philosophe... néanmoins cet ouvrage m'a intéressée. Bon, la prose poétique peut rebuter au premier abord et ralentit la lecture (d'ailleurs je n'ai pas encore fini), mais elle n'est pas moins émouvante du fait de son ancienneté. En effet, le fait de savoir que je lis la pensée d'une personne ayant vécu durant l'antiquité, soit il y a plus de 2000 ans... moi, ça me donne le vertige. Et ce vertige s'accentue lorsque je constate que ces écrits restent lisibles et compréhensibles à notre époque.... je dirais même plus : ils sont actuels, voire même éternels.Peut-être que je ne perçois pas tout, car je répète que je ne suis aucunement spécialiste. Même si j'ai étudié autrefois Platon en cours de philosophie, je ne connais pas grand chose à la culture de l'époque... De plus je n'ai aucun moyen de vérifier l'exactitude et la qualité de la traduction française. Toutefois, quand je lis les mots (traduits) de Lucrèce, des images familières me viennent, elles m'évoquent des préoccupations qui sont les miennes, les nôtres, aujourd'hui, telles que celle-ci :"Si l'âme en outre est immortelle en sa natureEt se glisse en le corps du nouveau-né, pourquoiN'a-t-on nul souvenir de sa vie antérieureNi nulle trace en soi de ses actions passées ?Si les pouvoirs de notre esprit s'altèrent tantQu'il ne retienne rien du passé en mémoire,Cet état n'est, je crois, guère loin de la mort :Il faut donc l'avouer, l'âme d'hier est morteEt celle d'aujourd'hui fut créée aujourd'hui."(Lucrèce, "De la Nature", chant III, 670)Le titre du livre est "De la Nature", mais ce que j'en ai perçu, c'est surtout une grande réflexion autour de la "nature humaine" : il s'interroge sur notre existence, sur l'amour, la mort, nos perceptions (vue, ouïe...). Pour lui, l'âme humaine n'est pas immortelle, et les religions ne sont que tromperie... De là, nous comprenons mieux le sens donné à la philosophie "épicurienne", qui n'a pas grand chose à voir avec la définition galvaudée d'aujourd'hui.Lucrèce aborde aussi la relation de l'homme avec le monde qui l'entoure, mais je trouve d'un point de vue essentiellement anthropocentrique : le ciel (soleil et astres), l'océan, la terre... il en décrit les forces tant créatrices que destructrices. Il a une approche tout de même assez "scientifique" au sens où il essaie d'en décrire le fonctionnement, avec parfois une surprenante subtilité.Enfin, alors que nous approchons le fameux 21 décembre 2012 tant "redouté", je ne peux pas m'empêcher de remarquer que, déjà à l'époque, la fin du monde était attendue (oui oui) ! La preuve ici :"Voyons d'abord les mers, les terres et le ciel,Dont la triple nature, ô Memmius, les trois corps,Si différents d'aspects dans trois tissus semblables,Mourront en un seul jour quand croulera du monde,Soutenue tant d'années, la massive machine.[...]Les faits confirmeront peut-êtreMon pronostic, peut-être un séisme effroyableMontrera-t-il sous peu que tout doit s'écrouler,Ah ! Puisse la fortune écarter ce malheur,Et la raison plus que les faits prouver que toutDoit s'abîmer, vaincu, dans un fracas horrible !"(Lucrèce, "De la Nature", Chant V, 91 )Cela fait relativiser n'est-ce pas ? :-)Nous n'avons donc guère changé... J'arrête là mon exposé, car cet ouvrage est fort dense, il y aurait tellement de choses à en dire. Ainsi, si vous êtes curieux de voir à quel point nous n'avons pas évolué - malgré une meilleure connaissance de l'univers - à quel point nos préoccupations sont les mêmes... Bref, lisez "De Rerum Natura" (De la nature) de Lucrèce.Merci de m'avoir luePS. Ma note n'est pas destinée à cette oeuvre qui a traversé les temps, ce serait bien présomptueux de ma part. Par contre, je ne mets pas 5 étoiles, car je ne peux pas juger de la qualité de la traduction. Quant au livre lui même, ce n'est qu'une épreuve non corrigée, donc je ne peux pas donner mon avis sur sa présentation.

3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.
4Une très belle traduction
Par Jordi Vilalta Lopez
La traduction en vers d'Olivier Sers est très bonne, un peu moins fidèle que la de Kany-turpin sur Aubier. La courte introduction est peu utile et il n'y a pas d'annotation. Somme toute, malgré la très belle traduction, on recommande Kany-Turpin sur Aubier.

1 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.
4Mais pourquoi des majuscules en français?
Par Michel Armand
Écrivons le de suite, il n’est pas question ici de porter un avis sur l’œuvre de Lucrèce mais de parler de cette édition.Si la traduction, du peu de latin dont je me souvienne est agréable, le lecteur averti trouvera dans les quelques ajouts, matière a une meilleur compréhension de l’ensemble (qu’il faut aborder par petites doses sous peine d’être découragé).Un gros reproche cependant : si les doubles pages sont judicieusement mises à profit pour présenter le texte latin à gauche et la traduction à droite, toutes les lignes françaises commencent par une majuscule; cela respecte sans doute les canons le la retranscription poétique mais rend la lecture assez difficile en nuisant un peu à la fluidité d’autant que la ponctuation latine n’est pas toujours respectée à la lettre (devrions-nous dire «au caractère»).

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