Lire le livre complet Les enfants qui mentent n'iront pas au paradis- Lire le livre en ligne

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Détails sur le produit

• Rang parmi les ventes : #172049 dans Livres
  
• Publié le: 2016-01-14
• Sorti le: 2016-01-14
• Langue d'origine:
  Français
• Dimensions: 5.12" h x
  .43" l x
  7.80" L,
  
• Reliure: Broché
• 160 pages

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.
Les enfants qui mentent n'iront pas au paradis
Par Tornade
Je n'ai pas trouvé le titre vraiment bien adapté au roman, je le trouve très généraliste. L'histoire est assez simple, elle aborde un peu tous les sujets qui font l'actualité aujourd'hui, la politique, la laïcité, la fonction publique, le sexe. Le roman un peu spécial, pas repoussant mais pas sensationnel non plus. Le piège, c'est que les chapitres sont courts et qu'on est tenté de se dire « allez encore un », ce qui fait qu'on le lit très vite. Il a su capter mon intérêt à plusieurs reprises mais globalement, c'est un livre que j'ai moyennement apprécié.Les fans de Nicolas Rey apprécieront sans doute.Les curieux pourront tenter.Que peut-on retenir de cette histoire ?Des personnages olé olé qui s'éclatent à leur manière dans leur histoire de cul, de la provoc, un langage cru, un style simple, un homme amoureux, une instit déjantée avec des idées arrêtées.C'est l'histoire de Gabriel qui vient d'être largué par sa nana. A la réunion des parents d'élèves, il tombe en admiration devant Catherine, l'instit de son fils. Il a 40 ans, elle en a 50. Mais voilà, Gabriel est de gauche et l'instit milite au Parti National. C'est très mal vu. Mais il y a une chose à laquelle Gabriel est incapable de résister, c'est le cul de Catherine. Ah le cul de Catherine !!! Il fascine Gabriel. Les deux gus vont s'épanouir dans une sexualité dépravée tout en échangeant quelques idées qui volent parfois un peu moins bas.

1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
L'amour selon Nicolas Rey
Par Bouquinovore
Un auteur gauchissant amouraché d’une institutrice fachissante, voilà en résumé ce que nous propose Nicolas Rey dans son dernier roman.Encore une fois, l’auteur nous parle d’amour, ne vous y trompez pas, il n’est pas question ici d’un roman à l’eau de rose, avec des corps somptueux au bord de la plage. Mais des méandres de l’amour, ce qu’une personne est capable d’accepter de l’autre par amour. Perdre ses idéaux au fond des yeux de l’autre.Je relevé une phrase dans ce roman, qui pour à mon goût résume bien le livre, cette façon de vivre intensément l’amour et se perdre en l’autre bien que cela ne dure pas.« J’ai compris que lorsqu’on aimé vraiment quelqu’un, il fallait lui faire une confiance absolue. Bien sûr, les cyniques diront qu’en quelques jours, on peut tomber de haut. Et alors ? C’est peut-être ça, l’existence. Souffrir une vie entière pour vivre en haut et en pleine confiance quelques jours »Ici tout est dit : « Souffrir une vie entière pour vivre en haut et en pleine confiance quelques jours », l’amour se résume dans l’abandon à l’autre et n’est au final qu’une tragédie.Nicolas Rey me fait penser d’une certaine manière à Frédéric Beigbeder dans la trilogie de Marc Marronnier. Ils n’ont plus 30 ans, mais bien la quarantaine.Que vous dire de plus peut être que si vous ne l’avez pas encore fait, de vous jeter dans la lecture de ce roman, certes court, mais intense.

0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.
Rien de neuf chez Rey, mais c'est comme ça qu'on l'aime le plus !
Par Pierre-yves Champenois
Nicolas Rey continue son œuvre littéraire en usant toujours des mêmes thématiques, d'une structure narrative globalement identique, de personnages similaires et pourtant, alors qu'on pourrait aisément penser qu'on va s'y ennuyer sec, rien n'y fait : ses bouquins sont toujours aussi agréables à lire. Oh oui, ceux qui n'aiment pas habituellement n'aimeront pas davantage ce dernier. Gabriel, double littéraire de ce cher Nico, est ainsi à l'œuvre ici dans une relation amoureuse tumultueuse avec l'instit de son fils, membre du Parti National et assez éloignée idéologiquement de notre ami bobo.Les déboires amoureux, la folie douce, l'agent de Gabriel, on retrouve tout ce qui fait le piquant des romans de Nicolas Rey. Certes, on aimerait bien un peu de renouvellement. Oui, on finira immanquablement par se lasser. Mais il faut reconnaître le talent de l'auteur à nous emmener au-delà de la folie apparente de son histoire en balançant de-ci de-là quelques belles réflexions sur notre société, sur les relations amoureuses, sur la vie quoi. Faisons comme ce bon Gaby : profitons de l'instant, de ce bon moment offert par l'auteur. On verra bien quand on en aura marre de ces histoires sans intérêt réel. Pour l'instant, on en veut encore !

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