Friday, July 14, 2017

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Les diaboliques de Maldormé (Romans historiques)

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #27137 dans eBooks
  • Publié le: 2007-10-31
  • Sorti le: 2007-10-31
  • Format: Ebook Kindle

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

15 internautes sur 15 ont trouvé ce commentaire utile.
5A savourer, à déguster !
Par renato
C'est toujours avec le même plaisir qu'on retrouve Raoul Signoret et son oncle Eugène Baruteau, sans oublier la fidèle Cécile dont le métier d'infirmière est bien utile pour jouer les espionnes. Que faut-il mettre en exergue ? Son sens de l'intrigue ? Son humour ? Ses dialogues savoureux ? Sa profonde connaissance du passé de Marseille qu'il fait revivre avec talent ? Le parfait équilibre entre les différents ingrédients qui font un bon roman ? Tout est à saluer. D'entrée, le ton est donné : "La seule âme qui vive à cette heure matinale dans l'anse de Maldormé était donc celle de Victor Rabinel, car le chat noir qui le suivait à distance n'en possédait pas, à en croire René Descartes qui écrivait parfois n'importe quoi." Des phrases comme ça, moi, ça me met en joie, pas vous ? Une enquête riche en rebondissements, de l'action, du suspens, mais nos héros ne sont que des hommes, pas tout à fait comme les autres, certes, mais comme tout un chacun, ils aiment la bonne chère et Jean Contrucci sait nous faire venir l'eau à la bouche. La page 264 est un véritable hymne à la soupe au pistou ! "Comme pour illustrer par un point d'orgue ces échanges culinaires, Colette - suivie par son époux qui amenait le vin rosé comme on porte un ciboire - posa sur la table une imposante soupière pleine d'un potage épais servi à peine tiède (...) d'où s'exhalait la puissante senteur du basilic longuement pilé (...) Sans attendre Colette plongea sa louche dans le mortier de légumes mêlant les couleurs et les parfums dans un camaïeu visuel et olfactif qui fit saliver les convives. Elle procéda à la répartition dans les assiettes avec des gestes d'officiant au moment de la communion. On s'attendait à l'entendre dire avec chaque louchée : "Prenez et mangez, car ceci est ma recette..." Une enquête embrouillée à souhait, disais-je, mais comme dans les bons films, cela ne serait pas suffisant sans les seconds rôles. On découvre ici Placide Boucard un ancien journaliste sportif et bon vivant, qui habite Malmousque et qui ponctue ses phrases avec des extraits de Faust, un opéra qu'il connaît par coeur, ou Riri-le-fada, un simple d'esprit attendrissant qui était amoureux de la belle Mariette, et puis on a plaisir à retrouver l'ineffable Escarguel, toujours aussi allumé. Ce nouveau Mystère de Marseille est une nouvelle réussite. Un livre qu'on savoure, qu'on déguste, qu'on fait durer le plus longtemps possible, qu'on voudrait ne voir jamais finir. Et on a envie de demander à l'auteur : "Mais comment faites-vous pour vous renouveler à chaque roman ?"

1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
5contrucci oh oui !!
Par Jean Francois Ponge
Dans la série des "Nouveaux mystères de Marseille", "Les diaboliques de Maldormé" tient une place à part. Outre qu'on y apprend comment le couple Raoul-Cécile (Raoul Signoret, journaliste au "Petit Provençal", et son épouse) va s'enrichir d'un enfant ne devant rien à la procréation, il rassemble en un seul volume tous les ingrédients qui ont fait le succès de la saga marseillaise de Jean Contrucci : du mystère, avec une pointe de fantastique (une noyée qui revient curieusement à la vie), des énigmes à répétition (le meurtre du notaire, la machination ourdie autour de la gouvernante), une critique sociale (les biens mal acquis des habitants des beaux quartiers), de l'humour à gogo, et même... du sexe ! Sans oublier les bonnes recettes de "Thérésou", cuisinière d'élite, et le message humaniste de cet amoureux de Marseille et de ses habitants. Espérons que tout cela passera dans l'adaptation cinématographique ou télévisuelle qui ne manquera pas de voir le jour, un jour...

0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.
5Peut-être le meilleur de la série !
Par Marie Pierre Bernet
Encore une référence à la littérature classique (Barbey d'Aurevilly) dans le titre de ce « Nouveau Mystère de Marseille » paru en 2007. Un des meilleurs à mon goût. Avec des thèmes chers à tout journaliste-écrivain et toujours d'actualité : la rumeur, la manipulation, le racisme, la haine de tous ceux qui sont « différents ». Et encore le plaisir d'une lecture fluide, de situations denses et surprenantes, d'un style imagé et poétique, de recettes de cuisine mémorables ' ici la soupe au pistou ' et de paysages d'une beauté à couper le souffle.Ici, Raoul Signoret, notre héros toujours sur la brèche, s'attaque à un crime à plusieurs tiroirs particulièrement odieux. Une double machination contre un notaire septuagénaire aux jeux sexuels dangereux et sa gouvernante qui a le plus grand des torts dans la France de 1906 : elle est Allemande.Sa croisade pour la manifestation de la vérité va le conduire, comme dans tous les romans de Jean Contrucci de cette saga, à mettre en danger sa vie, avec tout simplement une provocation en duel contre un ancien officier, puis dans une bagarre en pleine mer où le salut viendra de façon tout à fait inattendue. Le tout dans un cadre fabuleux : l'anse de Maldormé qui fait pendant à l'anse de Malmousque, autour du Château d'If, au milieu de la rade magnifique de Marseille.Et encore et toujours, une foule de personnages attachants : le journaliste sportif en retraite et gourmand Boucard, la belle et digne « Bochesse », son fils Thomas que nous retrouvons dans les épisodes suivants, et on comprend ici comment, l'oncle Eugène Baruteau, décidément bien bavard...

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