Pdf en ligne -Journal intégral : 1915-1941-[PDF] Free
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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #133439 dans Livres
- Publié le: 2008-04-09
- Nombre d'articles: 1
- Dimensions: 6.10" h x
1.85" l x
9.25" L,
- Reliure: Broché
- 1558 pages
Description du produit
Collection La Cosmopolite . 1558 pp. Dos insolé (décoloration).
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Par CULTURE-CHRONIQUE
La première page du journal, version intégrale, de Virginia Woolf, débute un vendredi 1 janvier 1915. Elle évoque des problèmes domestiques, des comptes, des factures, le bruit des cloches du nouvel an, une promenade sous la pluie. Cela semble anodin pour un quotidien d’écrivain. Pourtant, cette première page contient beaucoup de l’auteur : sa peur des domestiques, ses difficultés financières, les cloches qu’elles croient entendre annoncer une victoire, pendant la guerre, elle qui en traversera deux, sans oublier son goût de la marche même sous la pluie.Un journal passionnant de bout en bout et dominé par la magnifique écriture de cet immense écrivain anglais.CULTURE-CHRONIQUE
15 internautes sur 18 ont trouvé ce commentaire utile.
Pour vivre
Par R.M.
Tout le monde connaît Viginia Woolf, ne serait-ce qu'à cause du films The Hours. On la connaît par ses oeuvres, sa sensibilité, son histoire. Cette femme qui se suicide à 59 ans, probablement maniaco-dépressive, après tant d' années de souffrance mentale, ne doit pas faire oublier qu'elle fut la fille d'un homme de lettres célèbre, très à la mode elle-même, très moderne, au milieu d'un cercle littéraire, artistique et mondain. Virginia Woolf dans la société londonienne de son époque est loin d'être n'importe qui. Tout le monde la connaît et elle connaît tout le monde, tous les écrivains et tous ceux qui laisseront un nom. Si on veut s'immerger dans cette époque, son journal est une voie magnifique. Et puis y a le style, qui n'est pas celui de ses romans, il y a ses angoisses à propos d'eux, l'histoire de ces textes. Il y a l'attirance pour les femmes, dont certaines sont bien connues et dont elle parle dans ses romans. Enfin il y a le couple Virginia Stephen et Leonard Woolf, un juif. Ce qui n'est pas sans poser de problèmes de plus en plus ardus dans cette période cruciale. Bref, les entrées de ce journal sont innombrables, artistiques et historiques, réflexions personnelles et chocs d'époque.A lire à petit bruit, tranquillement, pour la simple réjouissance
14 internautes sur 16 ont trouvé ce commentaire utile.
Un parfait livre de chevet
Par Cyril
Quel meilleur livre de chevet que le journal d'une des meilleures poétesses du XXème siècle ? La genèse de son écriture, son regard sur le monde, ses interrogations sont une mise en perspective à la fois précieuse et délicate de notre quotidien.
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